L’holisme.

Considérer l’être humain dans sa globalité.
23 rue Magenta Villeurbanne

D’où vient l’holisme ?

L’holisme vient de la sociologie des années 1920 et d’une volonté de considérer un sujet d’un autre angle de vue ; de résoudre une problématique insolvable en changeant le questionnement.

Jan SMUTS, Premier ministre Sud Africain à l’époque, en a l’idée et développe le principe de « whole » / d’un « tout » / d’un ensemble / d’un système.
Système qui peut être une nation, une entreprise, un ordinateur, ou un être vivant…

Le principe

« Le tout est supérieur à la somme de ses parties ».
C’est à dire que l’on va reconnaître à un ensemble des sous-parties répondant toutes aux mêmes caractéristiques : ces sous-ensembles sont en interaction réciproques ; ils sont organisés avec une logique propre ; à un certain niveau élevé d’interactions, apparait une notion de complexité, c’est à dire d’incertitude attendue ; et enfin ils représentent à eux tous une notion de globalité.

Au final, c’est ce que l’on observe chaque jour :
L’humain est plus que la somme de ses organes.  

Le tout est supérieur à la somme de ses parties.

  1. Globalité
  2. Organisation
  3. Interrelation
  4. Complexité

Et concrètement, comment appliquer
ce principe holistique en thérapie ?

L’idée concrètement est de considérer les différents symptômes, le tableau clinique du patient, sa pathologie, comme la réponse intelligente du corps humain, c’est à dire la mieux adaptée, à ses différents agents agresseurs.

Nous n’allons donc pas nous opposer de prime abord à la symptomatique, mais tenter d’en déterminer les origines et d’apporter autant que possible des ressources à l’organisme pour qu’il puisse mieux réagir et s’adapter dans sa logique et avec ses priorités à ce qu’il subit.

Le but est donc d’aider le patient à intégrer, à résilier, à apporter des réponses partielles, voire complètes, à sa pathologie pour la rendre supportable ou mieux, pour la résoudre.

En gros, il s’agit de prendre en charge l’individu dans sa globalité plus que sa maladie. 

Quels sont ces agents agresseurs ?

Nous allons alors changer de référentiel et observer ici différemment l’être humain, c’est à dire nous écarter quelques temps des considérations systémiques gynécologiques, rhumatologiques, digestives ou autres pour considérer les individus dans leur environnement ou les différents organes dans le corps comme des ensembles.

Dans ce cadre, nous pouvons globalement identifier 3 grands groupes d’agresseurs :

  1. Les stress du corps
  2. les stress du métabolisme
  3. les stress du mental

Considérant ceci, cela implique dans cette approche, la prise en charge à priori nécessaire des 3 principaux piliers de soutien de la santé pour les potentialiser :

  1. le pilier physique
  2. le pilier chimique
  3. le pilier psychique

C’est pourquoi nous proposons à nos patients de les accompagner sur ces 3 différents pôles en vue de les stabiliser et ainsi améliorer leurs pathologies.

Une mise en application concrète : le programme Endomaîtrise

Explication de la prise en charge hollistique dans un cadre gynécologique en vidéo.

La chiropraxie s'adresse à toute personne cherchant un soulagement naturel et non invasif pour les douleurs musculo-squelettiques et une amélioration de la santé globale.
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